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Incandescente silhouette

Gesticulante et vacillante

D’est en ouest

Esquisse anonyme

Echo d’un vis-à-vis intime 

Où de ces milles regards furtifs

Fredonnant le nom d’idylle

Se mêlent les délicieux murmures  

Le silence se dénude

En une Passion de la désinvolture

Jeune prouesse de la solitude

Respire la délicate contemplation

Qui brusque la tristesse d’une joie profonde

Et laisse au manque décidé de sa raison

 

 

 

 

 

 

 

 

 

arbitre de la métamorphose cause de la brillance étincelante de l’osmose 

arrose de ses multiples ardeurs son révélateur

 ravive le rêve rassis

réveille le vaillant sommeil de la sérénité saine

crache de ses jets de salives salines et sensitives

la nonchalance désœuvrée

de la blanche feuille fascinante tenue à main levée 

 

 

 

Sous couverts de ce sous scellé aux sous jacent du soucieux, sillonnant l’insignifiant, si dorénavant assis au seulement si, si un jour, si toujours, si attaché à lui, si caché dans la nuit J’ai j’oscillait entre j’aurais et l’amour d’un j’étaisOffice de J’avais de ce nez à nez il faut finalement que je le sache, attaché à savoir, je ne saurais apercevoir, encore faut-il, qu’il vaille le falloir 

Naissance

C’était toi

Voile de la nuit

Discrète transparence

Ange anonyme

C’était lui

La douceur nacrée

La tendresse effleurée

La disparition

La perte

Horizon nostalgique

Cette fable

Cette femme

Pureté, l’inatteignable

Es-tu là  ?

L’inaltérable

Entre soupçon et désillusion

Je ne te vois pas

Légèreté d’un Destin

Voyage au cœur de la plénitudeOmbre dessiné

Le vide dans le plein

EmerveillementLe secret spirituel

Danse, danse

Enchantement

Beau et belle

Parfum

Silhouette en quête

Sourire d’une Nudité

Enchevêtrement

Je t’aperçois enfin

L’ombre assoie les désillusions

Par ces contes et fables qui dans les caniveaux ruissellent. Fustigeant la lune et perçant les étoiles, Le ciel, file en quête d’horizon. Alchimie d’une intelligence en transit Aux couleurs temporellesQui, de la désinvolture abrite Une parole disséminée, Où de son écho, L’invention est un cœur qui bat, Faisant de l’énonciation, un tableau. Sursaute, spontanée, et imprévisible, Langue pépinière, Tu es la sauvage révélation. Rebondissante, fugitive, et passagère, Tu es le cri du dénouement,Arrachant à la terre Sa pulsion.

 Gris nuage et eau de pluie. Fragments, bribes, et cailloux. Amour, désir et nostalgie. Masse musculaire des villes, Marche, coure, fuit. Défiant les tracés, fabriquant les gestes En narration de signes. Bancs, pierres, et ruellesS’imbriquent à la marge des vertus du récit. Fiction du réelle,Vivacité d’une ruse Gaieté d’une folie Fenêtre ouverte et battement d’aile. Peignant l’éphémère inconnu, En bataillon paisible, Les vertiges de l’âme se muent. Fait de bouches, de pieds et de mains, Le corps devient espace. Organe rythmique d’une parcelle Qui souffle d’une voix muette L’aube des lendemains

L’existence est une pluie de rêve où chaque goutte coule sur ton visage pendant ton sommeil où cette généreuse rivière transgresse son nid pour y devenir un torrent désobéissant. L’histoire est une sombre lumière Laissant le pouvoir au ciel et au étoiles éclairé notre scrupuleuse vie amère. L’œil est une syllabe qui parcoure la langue déni de son regard incapable. La mémoire est un cartable remplis de ces généreuses poussières qui porte le fardeau miséreux de nos semblables. L’hypocrisie est une assurance tout risque dont les placement en bourse fructifie les cimetières. Le bonheur est un jeu de rôle où les acteurs ressemblent à des frigots. Les sourires sont des placards qui se ferment très tôt. L’amour se compte en billet et pièce de monnaie. La tendresse dans un désert cherche son oasis. L’égoïsme est un supermarché. La liberté est une voiture traversant des paysages invisibles et roulant dans les regrets. Le respect se vend chez les marchands d’arme et de qu’on dit de la tolérance, dans un morceau de bidoche se coupe en tranche. La paie est un fond de commerce bercé par les coeurs chantants d’une pitié prostituée qu’on nomme allégresse. L’amitié se noie dans un trou à chiot. Le quotidien est un tee shirt rétrécit au lavage. La mort est un sandwich tartiné au ketchup,la morale est un infarctus et la raison est une fellation du cunnilingus 

Il, unanime, elle anonyme

La mienne, la tienne

L’un dans l’une

La preuve tactile

nage dans les méandres du mobile

Poussière humaine

Vétusté de l’énigme

Résidu de l’abdomen Quintessence de l’obéissance

Coup pour coup

Procès sous indulgence

Accusé levez-vous

Le soleil a rendez-vous avec la lune

Sensualité d’une nuit

Absence d’un jour

Je t’appelle tendresse

puis je te nomme amertume

De celles à ceux

De don et d’aveux

De rêves les plus pieux

La frêle enjouée, le zèle avoué Insidieux dangereux

de l’enjeu présomptueux. En mode querelle ou sensuelle.

Je, nous, tu, ils, vous

se nomment et se prénomment elles.

Le jeu en vaut la chandelle.

Rue sur braise,

mur de glaise,

peigne et s’imprègne

en gènes et genèse,

guette et veille

pour que tu soi belle

Te veux, jeune ou veille

Draine de tes lettres

La douce noblesse

Pérenne de ta silhouette

La délicate prouesse

L’entreprise livresque

Atteste que tu soi le manifeste Je t’aime et tantôt je te déteste

T’épelles, te cite, t’interpelle, t’existe

L’’implicite tacite,

compromis explicite

Va et vie, t’envie, et puis vire à l’oublie

Tu es le feu des armes, le héros fier et valeureux, un chemin tortueux, l’aigreur et la blanche pâleur, le prix de la survie, une porte qui s’ouvre et ensuite se ferme, des cernes de fatigue, des graines de possible, la peur et la torpeur, l’instant présent, le corps à corps, le carma, la dose et la surdose, le kamasoutra, la symbiose.

Tout débute À la culbute De l’intérieur très vite À coté de mes piedsDe n’être….. Fusse dépasser Étirement de faciès L’intro devient prologue Et l’hymne à la conscience désavoué La farce distille Dopant le plaisir vilainD’un semblant de dire Abreuvant les rimes biologiques De concentré de zest Et d’ironie à courir Sereinement indisponible Mais récolté de fourmies sous la langue Souvient-toi du Fred dernier Un remake fond de culotte Construit le geste en fait Tiré la chasse d’eau des chiots

Passer, pas assez, passager,

Pas à pas, passe temps, passer, présent. poser, déposer, poster,

Post-it, post-scriptum.

Sème, parsème, se hisse,A juste titre,

Au grès des tomes et au vague à l’âme des chapitres. Raison du synopsis,

Use et lisse,

Conquis des syllabes,

Palabres,

Syllabus, en vrille,Glisse, stylo bille,

Enlacé, entremêlé,

Brille. .

La tolérance zéro

Règne en non-dit

Aire comme des prémices

Où les futurs moutons dociles

Arbore leur tyrannie

Partisans et partisanes

Artisan de l’égalité

Ratisse les villes et les campagnes

Ne sont pas de ceux, Dans leur profondeur Qui à travers le regard de l’enfant, Observent et perçoivent Ce qu’on l’habitude de nommer le bonheur.Ne sont guère de ceux, Investit de la douleur Qui par le poids accumuler du temps, Se résignent à écarter L’objet de tendresse et de réconfort. Ne sont aucunement de celles, Parcourues de la rugosité Qui marquées par la souffrance des gestes réguliers, Se sont dénuées de leur caresse et de leur douceur. Ne sont toujours pas de celles,

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